Calmer la tempête
A lors que l’ouragan Katrina approchait des côtes du Mississippi, un pasteur à la retraite et sa femme se sont rendus dans un abri. Leur fille les a suppliés de venir à Atlanta, pour y prendre soin d’eux, mais ils n’avaient pas de quoi faire le voyage, car les banques étaient fermées. Après le passage de la tempête, ils sont retournés chez eux pour y récupérer des biens et n’ont pu sauver que quelques photos de famille flottant sur l’eau. Or, tandis que l’homme sortait la photo de son père de son cadre pour la laisser sécher, des billets totalisant 366 $ en sont tombés – précisément la somme requise pour acheter deux billets d’avion à destination d’Atlanta. Ces gens ont ainsi découvert qu’ils pouvaient compter sur Dieu pour répondre à leurs besoins.
Catastrophe graduelle
Scott et Robin ont commencé à s’inquiéter lorsque des fissures sont apparues dans les murs de leur maison. En deux semaines, les fissures se sont élargies au point que leur garage présentait un net dénivelé par rapport à la maison. Le reste de leur propriété a bougé et a fini par s’affaisser de neuf mètres sous le niveau de la rue. Puis, huit de leurs voisins ont subi la même catastrophe graduelle, liée à une faille de l’aqueduc du comté.
Notre force et notre chant
Souvent appelé « le roi de la marche militaire », le compositeur et chef d’orchestre John Philip Sousa a créé des marches que les fanfares jouent dans le monde entier depuis plus d’un siècle. À son sujet, voici ce qu’a dit Loras John Schissel, historien de la musique et chef de la Virginia Grand Military Band : « Sousa est aux marches militaires ce que Beethoven est aux symphonies. » Sousa a compris le pouvoir qu’a la musique de motiver, d’encourager et d’inspirer les gens.
Nos prières
Lorsque j’étais enfant, mes parents faisaient en sorte que nous priions chaque soir avant le repas. Assis autour de la table de la cuisine, mes frères et soeurs et moi baissions la tête et mon père ou ma mère priait.
Tamia jacasseur
J’avais installé un filet dans mon jardin, sur lequel j’allais étaler des pierres décoratives. Tandis que je m’apprêtais à terminer ma tâche, j’ai remarqué qu’un tamia s’était empêtré dans le filet
Temple ou idole ?
Après avoir récemment visité deux parcs d’attractions, j’ai réalisé que notre notion erronée de la sexualité est plus visible dans les places publiques que dans notre chambre à coucher. Les gens sont amoureux de leur propre nudité. Je vis dans une région connue pour ses étés chauds, mais ce que les gens choisissent de porter tient plus compte des normes culturelles que du fait d’éviter d’avoir chaud.
Embourbés
Nous nous étions complètement embourbés ! Tandis que je déposais la couronne sur la tombe de mes parents, mon mari a rangé la voiture sur le côté de la route afin de laisser passer un autre véhicule. Il avait plu pendant des semaines et l’aire de stationnement était détrempée. Lorsque nous avons été prêts à partir, nous avons toutefois constaté que la voiture s’était embourbée. Les roues patinaient et s’enfonçaient toujours plus.
Les trois C
J’ai récemment écouté un conférencier qui pratiquait un mode de vie immoral durant sa jeunesse, mais qui plus tard, avait reçu Jésus comme son Sauveur. Il supervise maintenant un ministère prospère. Lors de sa conférence, il a décrit les « trois C » qui doivent faire partie d’une relation personnelle.
À la recherche de la sagesse
Tous les printemps, les collèges et les universités tiennent une cérémonie de remise des diplômes afin de célébrer la réussite des étudiants qui ont terminé leurs études et qui ont acquis leur diplôme. Après avoir traversé l’estrade, ces diplômés entrent dans un monde riche en défis à relever. Le simple fait de posséder des connaissances supérieures ne leur suffira pas. Pour réussir dans la vie, il leur faudra encore mettre en pratique avec sagesse tout ce qu’ils ont appris.
Des fondations solides
De la fenêtre de mon bureau à Singapour, je pouvais observer l’excavation d’un lot de terre où allait être érigé un nouvel immeuble. Après plusieurs mois, le projet de construction ne semblait pas avancer en dépit d’un débordement d’activités.